Les idées reçues sur la parentalité positive

Nouvelle série pour la rentrée avec les principales idées reçues sur la parentalité positive
1) La parentalité positive crée des enfants rois ! C’est du laxisme. 1/11
Je pense que c’est la peur principale de ceux qui ne voit la parentalité positive que de l’extérieur : que les enfants prennent le pouvoir, tels des Gremlins qu’on aurait nourri après minuit. C’est une vision basée sur une conception verticale de la société et de la cellule familiale et non horizontale. Sur une vision autocratique et non démocratique.
La parentalité positive, bienveillante, respectueuse, quel que soit le nom que nous lui donnions et ce que nous y mettions dedans se base sur l’idée que l’enfant est une personne à part entière, avec des droits et des devoirs, des besoins et des envies qui doivent être écoutés, entendus et pris en compte avec autant de respect et de bienveillance que nous écouterions ceux de notre meilleur ami. Cela ne veut pas pour autant dire que les parents laissent leur enfant faire ce qu’il veut, sans tenir compte des règles sociétales, culturelles et familiales qui l’entourent. Cela ne peut donc pas être apparenté au laxisme dont c’est la définition.
Les règles de la maison varient d’une famille à l’autre : ainsi, dans certaines familles, on peut manger dans le salon tandis que dans d’autres, ce n’est possible qu’à la table de la cuisine. De même, certaines familles autorisent les enfants à aller se coucher épisodiquement sans se laver les dents, pour d’autres c’est impensable. La position du curseur sur cette échelle de valeurs et d’habitude varie d’une famille à une autre.
Ce qui fait passer une famille dans le laxisme et crée des enfants rois, c’est le fait d’accepter que ces derniers ne fassent pas preuve de respect envers les autres membres de la famille, règles respectées ou non. De ne pas réagir quand ils se montrent irrespectueux. Tant qu’il y a une notion de respect mutuel, il n’y a pas de royaume.
Ce qui fait passer une famille dans la parentalité positive, c’est le fait d’établir ses règles en partenariat avec les enfants (démocratie) et de les aider à les respecter en tenant compte de leurs capacités et de leurs spécificités individuelles.
Ce qui fait passer une famille dans l’autoritarisme, c’est le fait de décider seul des règles, sans tenir compte des enfants, et de les faire appliquer par la force si nécessaire (punitions).
2) La parentalité positive épuise les parents qui n’ont plus de vie. 2/11
Je vais être franche: quand les enfants sont petits, répondre rapidement à leurs besoins, c’est épuisant. Mais ce n’est pas la faute de la parentalité positive, c’est celle de la structure de la société/famille, de notre environnement de vie, de notre difficulté à demander de l’aide, de la vision idéalisée présentée par les réseaux sociaux... Tout comme on ne devrait jeter le bébé avec l’eau du bain, on ne doit pas faire retomber sur la parentalité positive des griefs qui ne la concernent pas directement. Ce n’est pas ce mode d’accompagnement des enfants qu’il faut remettre en cause, c’est tout ce qu’il y a autour.
Donc oui, répondre aux pleurs de son bébé, l’écouter lorsqu’il exprime sa frustration sans chercher à la couper, en étant à 100 % avec lui, l’amener à intégrer un certain nombre de règles sans passer par le système de punition/récompense…, tout cela demande sur le moment nettement plus de temps et d’énergie que la parentalité classique. Mais ce qui est chouette, c’est que c’est un investissement sur l’avenir! Plus vous parvenez à donner dans le présent, à remplir le réservoir affectif de votre enfant, plus il sera capable de patienter, de faire preuve d’empathie et donc plus vous pourrez prendre soin de vous.
En attendant, si vous avez des enfants en bas-âge ou des enfants dont le réservoir est sans cesse vide (soit à cause d’une prédisposition personnelle, soit à cause d’un environnement stressant), à vous de mettre en place, avec créativité et ténacité, des garde-fous pour ne pas vous épuiser. Ce n’est pas facile mais c’est possible ! Ne restez pas seul(e), entourez-vous, demandez de l’aide, faites appel à un professionnel si nécessaire. Mes collèges et moi sommes là pour vous aider à tenir le cap si vous n’y arrivez plus.
3) Avec la parentalité positive, finis les conflits. 3/11
Et ben non, en fait ! En tous cas, pas directement. Sur le long terme, oui, la parentalité positive a souvent un effet bénéfique sur l’ambiance générale de la famille et sur la coopération des enfants. Mais sur le moment, si vous démarrez en parentalité positive, ou si votre enfant a deux ou trois ans, vous n’allez pas diminuer les conflits. Il est même possible qu’ils soient plus nombreux, puisque les enfants se mettent à avoir un champ d’expression plus grand et plus libre : on les autorise enfin à dire ce qu’ils pensent, ils ne vont pas s’en priver.
Et puis, ce n’est pas le but. Nous ne choisissons pas de vivre en démocratie pour diminuer les conflits (un régime autocratique dirigé d’une main de fer sans contestation civile peut même être moins générateur de conflits qu’une démocratie), mais pour respecter chaque être humain comme il se doit, avec la même intensité pour chacun. C’est la même chose avec la parentalité positive. La diminution des conflits est souvent un effet secondaire de cette pratique. Cela ne devrait toutefois pas en faire un argument publicitaire car cela a tendance à créer un problème là où il n’y en a pas. En s’attendant à ce qu’il n’y ait plus de conflits, on s’énerve lorsqu’il y en a, et on ne parvient pas à accompagner les enfants en conscience dans la résolution de conflits.
En cas de conflits, le parent a pour devoir d’amener l’enfant à accepter ses émotions si elles sont intenses et à les empêcher de déborder de manière non respectueuse pour autrui (et éventuellement pour les objets autour) puis, à exprimer avec des mots adaptés ce qui a causé l'émotion, tout en écoutant les paroles des autres intervenants.
À force d’essais, les enfants finissent par apprendre par eux-mêmes à résoudre les conflits, en tous cas les petits. Mais cela prend du temps. Rome ne s’est pas faite en un jour.
4) La parentalité positive permet d’avoir des enfants parfaits/sages. 4/11
Je vais vous faire un peu la même réponse qu’hier. Avoir des enfants sages n’est pas le but de la parentalité positive. Il arrive souvent qu’en prenant soin des besoins de vos enfants, vous remarquiez qu’ils sont plus aptes à écouter les vôtres et à faire des compromis, ce qui peut correspondre plus ou moins à l’idée qu’on se fait d’un enfant sage. Mais ce n’est pas systématique et ce n’est certainement pas le but. Alors ne comptez pas trop dessus, vous risqueriez d’être déçu(e) !
La parentalité positive ne recherche pas la perfection, elle recherche la vérité. La vérité de l’être, de l’âme. Si vous ne brimez pas vos enfants lorsqu’ils expriment leurs désirs, si vous les écoutez avec attention quand ils vous disent qu’ils ont chaud alors que vous avez froid, si vous acceptez qu’ils aient faim alors que ce n’est pas l’heure de manger, si vous entendez qu’ils n’aiment pas lire alors que vous adorez cela, vous les aiderez à se connaître en profondeur, à savoir qui ils sont et à montrer au monde qui ils sont vraiment. Cela ne veut pas dire que vous devez céder à toutes leurs envies, ni que vous ne devez pas leur montrer que lire a de nombreuses conséquences positives, cela signifie seulement que vous entendez et acceptez qui ils sont.
Vous les aiderez à être bien dans leurs baskets et ancrés dans le monde. C’est tout, mais c’est déjà énorme, non ?
5) La parentalité positive, c’est un truc de bobos. 5/11
Pour pouvoir répondre à cette idée reçue, il faudrait déjà parvenir à définir le terme de bobos et là, cela se corse car j’ai l’impression que chacun met un peu ce qu’il veut – en fonction de ce qu’il n’aime pas – dans ce mot. Je vais néanmoins essayer de viser juste en visant large : le bobo est quelqu’un qui gagne plutôt bien sa vie, avec des prétentions intellectuelles, humanistes et écologiques, manquant parfois d’objectivité ou d’authenticité.
Alors, parentalité positive et bobos, oui ou non ? Je pense, même si je n’ai honnêtement aucun chiffre à l’appui, que la parentalité positive est plutôt bien vue chez un bon nombre de bobos. Logiquement, remettre en cause sa place dans le monde, face à son environnement ou aux autres êtres vivants, amènent à se poser des questions sur sa relation avec les enfants en général et avec les siens en particulier.
Cela ne veut cependant en aucun cas dire que seules les personnes avec une certaine aisance financière s’intéressent à la parentalité positive ! Être bienveillant avec les êtres qui nous entourent, quel que soit leur âge, ne coûte rien. Oui, bien sûr, ne pas avoir de problème d’argent permet d’aborder la vie avec plus de sérénité et d’être moins stressé(e), donc d’avoir un réservoir affectif plus rempli pour accompagner son enfant au mieux. Oui, avoir de l’argent permet d’avoir du relais, de prendre soin de soi, de se faire aider si nécessaire et donc d’élever son enfant dans de meilleures conditions.
Mais on peut heureusement se débrouiller la plupart du temps sans, en réfléchissant son environnement différemment, en revoyant ses priorités. De nombreux parents pratiquent la parentalité respectueuse avec de tous petits budgets. Ils sont créatifs et remplacent le manque de liquidités par un réseau important.
Alors, on ne se cherche plus d'excuses, et on se lance!😉

6) La parentalité positive, c’est un truc à la mode. 6/11

Oui, c’est vrai. Et comme tout ce qui est à la mode, c’est aussi un concept qui est souvent perverti, tourné en dérision Cela ne signifie toutefois pas qu’il est erroné ou qu’il manque de justesse. Il arrive parfois, même si je dois bien l’avouer que ce n’est pas souvent, que certaines choses à la mode soient justes. 😉
Mais c’est bien plus qu’un simple truc à la mode.
Selon moi, la parentalité positive, ce n’est que l’évolution logique et attendue de notre civilisation occidentale moderne qui tend à vivre de plus en plus selon des valeurs d’acceptation de l’autre avec ses différences, ses forces et ses faiblesses, des valeurs de tolérance (dans une certaine mesure, nous sommes bien d’accord, on trouve beaucoup d’intolérance chez certaines personnes s’autoproclamant tolérantes) et de respect des plus faibles et des minorités, avec par exemple l’interdiction de la violence physique faite aux femmes puis aux enfants.
C’est également un mode de vie qui n’est pas nouveau mais qui existe depuis des millénaires sous diverses formes dans certains groupes ethniques. Ce ne sont pas les valeurs de la parentalité positive qui sont nouvelles, c’est l’ampleur qu’elles prennent actuellement.
Et c’est plutôt une bonne chose, non, de considérer que les enfants sont des êtres humains à part entière qui ont droit au respect, sans adultisme ni idées préconçues de la part de leurs parents ?
7) La parentalité positive, c’est pour les parents parfaits ! 7/11
Je ne sais pas trop d’où vient cette idée reçue. Je l’ai déjà vue passer plusieurs fois sur les réseaux sociaux mais j’avoue avoir du mal à en retracer l’origine. Les parents que je vois au quotidien, ils sont loin d’être parfaits : ils se posent dix mille questions, ils font régulièrement des erreurs, se remettent en cause, tâtonnent, essaient, réussissent parfois, se trompent souvent. Alors peut-être que leur désir de bien faire en fait des parents parfaits. Je ne crois toutefois pas que ce soit la raison première de cette petite phrase.
Je pense qu’elle est plutôt la conséquence de la guerre sous-jacente que se mènent certains groupes de parents pro-parentalité positive avec d’autres groupes de parents pro-parentalité classique. En mode « c’est nous qu’avons raison d’abord ! ». Ce qui complique les relations entre les deux groupes, c’est que le problème va plus loin qu’une simple liberté de choix dans l’éducation de ses enfants. En faisant intervenir la notion de veo, de violence éducative ordinaire, il ajoute les concepts de danger et de protection dans l’équation. À partir de quand est-il de notre devoir de citoyen et/ou de société de protéger les individus qui ne peuvent pas le faire eux-mêmes et à partir de quand la figure parentale peut-elle suffire à justifier tel ou tel comportement ?
Le débat est ouvert, je n’ai personnellement pas la réponse.
8) La parentalité positive, c’est compliqué. 8/11
Je crois que ce qui rend la parentalité positive compliquée, c’est tout d’abord l’humain, avec son besoin de reconnaissance. Ce sont les divers sons de cloche qu’on entend, chacun étant sûr de savoir ce qui est mieux pour les enfants des autres, ce qu’il faut faire dans telle ou telle situation. Si nous cessions de juger autrui et si nous nous contentions de suivre le précepte si magnifiquement énoncé par Léandre Bergeron dans son livre éponyme « Comme des invités de marque », si nous traitions donc nos enfants comme des invités de marque, alors nous ne nous perdrions pas autant dans les méandres de la parentalité. C’est une base finalement assez simple : « Est-ce que vous vous comporteriez ainsi avec un ami très cher ? » Si la réponse est non, alors vous devez réajuster quelque chose dans votre parentalité.
Voilà pour la théorie. Pour la pratique, par contre, c’est souvent nettement plus complexe, cette fois à cause de la société et de son manque d’adéquation avec les besoins physiologiques physiques et émotionnels d’un enfant. Et là, c’est une bataille sans fin contre le stress ambiant, la violence, la fatigue et le manque de sommeil, le manque de nature et d’autonomie, l’alimentation inadaptée, la structure de l’école, l’adultisme en général… que vous allez devoir entamer si vous voulez pouvoir mettre en place LE type de parentalité que vous avez choisi avec VOS enfants. Et en fonction de l’impact de la société sur votre quotidien, vous allez devoir mettre plus ou moins d’énergie à contrer celle-ci, avec plus ou moins de résultats positifs.
En conclusion, la parentalité positive en soi, ce n’est pas si compliqué. Ce sont les informations contradictoires que nous recevons, le stress ambiant et la société qui nous entoure qui la rendent difficile. Perdus au fond des bois avec deux autres familles ayant les mêmes valeurs, cela passe crème !
9) La parentalité positive, cela ne marche pas ! 9/11
Il arrive parfois que la parentalité respectueuse ne permette pas d’atteindre les résultats escomptés. Nous devrions néanmoins dire que « la parentalité positive ne fonctionne pas avec mon enfant, dans ma famille, dans ce contexte précis », plutôt que de dire qu’elle ne fonctionne pas en général. Je vais vous expliquer pourquoi.
Lorsque nous nous retrouvons face à un échec de la parentalité positive, il y a selon moi deux possibilités :
- Soit la parentalité positive est mal comprise, mal mise en place et nous ne sommes plus dans une parentalité respectueuse de l’enfant. Donc l’idée de départ est fausse.
- Soit la parentalité, malgré tous ces outils et ces techniques, ne peut pas fonctionner dans les conditions de vie que je parviens à proposer à mon enfant car celles-ci sont trop lourdes, trop difficiles à gérer et la parentalité positive se contente de mettre un pansement sur une plaie ouverte. Elle limite les dégâts mais ne peut pas changer la situation complète car mon enfant est en trop grande souffrance pour d’autres raisons, raisons qui vident son réservoir affectif plus rapidement que je ne peux le remplir. Et dans ce cas encore, ce n’est pas la méthode qui est à revoir, il faut absolument agir rapidement et en parallèle sur les causes de souffrance de mon enfant afin de pouvoir avancer.
Dans un cas comme dans l’autre, ce n’est pas la parentalité positive elle-même qui est à remettre en cause, mais ce que nous attendons d’elle et l’idée que nous nous en faisons. Elle ne fait pas miracles, ce n’est qu’une manière de montrer son amour et son assentiment à son enfant, de lui créer des racines et des ailes afin qu’il vole le plus haut possible tout en sachant d’où il vient.
10) La parentalité positive, c’est un truc parmi d’autres. Ni mieux, ni moins bien. L’essentiel, c’est de suivre son instinct. 10/11
L’instinct est un concept dangereux. Tout d’abord, parce que la grande majorité d’entre nous n’a aucune idée de ce que c’est : ce que nous appelons aujourd’hui instinct est en réalité bien plus lié à un mélange de croyances, d’idées reçues et de peurs culturelles et familiales qu’un véritable lien particulier avec notre humanité dans tout ce qu’elle aurait d’innée. Ensuite, c’est une notion qui permet parfois de légitimer des pratiques que notre développement social et culturel devrait réprouver. Instinctivement, si on a été frappé dans son enfance, on peut avoir des pulsions de violence envers son enfant. Notre instinct peut les considérer comme acceptable alors qu’elles ne le sont légitimement pas d’un point de vue légal ou empathique.
On ne peut donc foncièrement pas prétendre qu’il suffit de suivre son instinct pour éduquer ses enfants convenablement. Au contraire, il est souvent intéressant de mettre à distance l’éducation que nous avons nous-même reçue enfant, d’en faire la critique nécessaire avant de pouvoir décider de manière aussi impartiale que possible du chemin que nous souhaitons désormais prendre en matière d’éducation.
Enfin, j’aimerais revenir sur cette idée que la parentalité positive est une méthode d’éducation parmi d’autres. Je ne pense pas que cela soit le cas. Je crois au contraire qu’elle a une place bien à part dans l’histoire de l’éducation. Car c’est la seule qui mette sur un pied d’égalité les besoins des enfants et ceux des parents.
11) La parentalité positive, c’est une recette à suivre à la lettre. 11/11
Je terminerai donc cette série d’idées reçues sur la parentalité positive par une recette de cuisine. Ou pas !
Non, la parentalité bienveillante, ce n’est pas une liste de cases qui nous feraient sortir du groupe si on décide de ne pas toutes les cocher. Oui, on peut être un parent bienveillant et ne pas allaiter son enfant. Oui, on peut être un parent respectueux et le faire garder dès 6 mois pour reprendre le travail. Oui, on peut être un parent positif et partir en week-end seul avec des amis. Il n’y a pas de listes. Il y a une philosophie global, générale, celle du respect et de l’écoute, de l’acceptation de l’autre dans son intégrité, sur un pied d’égalité et il y a une capacité à jongler avec tout cela au mieux, en s’adaptant, en observant, en testant sans cesse des trucs pour faire en sorte que chaque membre de la famille trouve sa place au mieux, sans oublier personne.
Et pour cela, il n’y a aucune recette, aucune méthode qui fonctionne chez tout le monde. Certaines sont plus globales que d’autres : d’une manière générale, un bébé n’aime pas dormir seul, il n’est pas programmé pour cela. Et il a souvent un besoin d’attachement si important qu’il est parfois difficile de parvenir à combler sans s’y perdre. Mais c’est à vous de voir ce que vous êtes en capacité d’offrir ou non, en faisant au mieux. Et si à un moment, vous ne pouvez pas répondre aux besoins de votre enfant, et bien vous y répondrez plus tard, quand vous aurez retrouvé un peu d’énergie pour le faire. L’important est de ne pas tomber dans les extrêmes, c’est une danse qui se joue, un marathon de danse même, dans lequel aucun des deux partenaires ne doit mener seul trop longtemps (mis à part cette période très particulière du nouveau-né qui ne sait pas différer ses besoins).

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